Samedi 14 janvier 6 14 /01 /Jan 10:26

    Poussant la porte , je fus déçu de constater qu'un oncle occupait déjà l'un des urinoirs.Nous nous installames donc devant d'autres cuvettes, faisant semblant de nous soulager .

        Après quelques paroles évasives, le tonton pris congé et nous laissa terminer seuls.Dès que la porte fut refermée et après avoir vérifié que personne d'autre ne se trouvait là, j'attrapai Thomas et le poussai sans ménagements vers l'un des boxes de wc.Repoussant la porte derrière nous, je me jetai alors sur lui et le plaquai contre le mur.là je lui roulai une pelle d'enfer durant de longues  secondes de bonheur.Déjà mes mains caressaient son corps et débouclaient sa ceinture pour pouvoir plonger dans son caleçon tendu.Le fut glissa tout naturellement alors que j'empoignai son paquet et qu'il gémissait de plaisir.

        Poursuivant notre baiser fougueux, je baissai le boxer et saisit sa queue raide à souhait.Je commençai à le branler sous ses rales de plaisir, lorsque nous entendimes la porte des toilettes s'ouvrir .

           Je stoppai, sans un bruit, et poussai le verrou de notre box que j'avais oublié de mettre.Riants et rouges de notre bévue, nous avions presque envie d'en rire mais le bruit dans le box d'à coté nous en dissuada.

        Je plaquai alors ma main contre la bouche de mon cousin avant de reprendre vicieusement la masturbation de son chibre.Je sentais la pression monter et son désir s'accroitre.Il se retenait au maximum pour ne pas gémir et faire du bruit et la situation m'excitait au maximum.Me disant que , peut-etre, c'était son père ou son frère qui se trouvait derrière cette fine paroi.

 

      Quand enfin la chasse d'eau se fit entendre et que l'occupant des lieux ressortit, nous attendimes quelques instants pour etre certains d'etre seuls, et j'otai ma main de sa bouche.Reprenant son souffle, il me repoussa et me projeta littéralement contre le mur d'en face avant de venir replonger sa langue dans ma bouche et de me palper le paquet.

        Me l'empoignant dans sa main musclée, il tritura sauvagement mes couilles sensibles et pleines.Je poussai un gémissement de plaisir et de douleur.Alors, de son autre main, il m'attrapa par les cheveux et m'obligea à me pencher.Je m'exécutai non sans plaisir et vint lui prendre sa queue déjà bien humide dans ma bouche gourmande.

 

        Je le suçai délicatement au début , puis de plus en plus gouluement.Son fut à ses pieds, il réussit tout de meme à monter sur la cuvette des wc pour etre plus à hauteur, puis me présenta à nouveau sa bite avide de ma bouche.Jouant de mes doigts sur ses couilles, je le suçai sans retenue, en gorge profonde.

 

       Son bassin commença alors à bouger en de petits va-et-vients qui s'accélérèrent très vite.Bientot il me baisait la bouche telle la chatte de sa tendre dulcinée qui l'attendait sagement.

 

       M'agripant à ses fesses, je les écartai légérement pour découvrir sa rosette.Là je titillai d'un doigt cette entrée chaude pour l'exciter davantage encore.Il avait de plus en plus de mal à se contenir dans ses gémissements.Et au moment meme où mon doigt rentrait dans son petit orifice, il se crispa et deversa dans ma bouche tout son jus épais et chaud.

           J'en avalai un maximum avant de lui nettoyer méthodiquement et délicatement sa queue vidée.Alors je me relevai pour venir l'embrasser à nouveau, partageant avec lui le gout et l'odeur de son propre sperme et de sa queue d'étalon.

 

         Une fois revétu et soulagé, et n'ayant plus le temps de nous occuper de ma bite, je lui intimai l'ordre d'aller retrouver sa copine pendant que je remettai de l'ordre dans ma tenue.Ce qu'il fit sans trainer pour ne pas etre vus ressortant ensemble des toilettes.

         De mon coté, j'allais prendre l'air quelques minutes pour calmer mon excitation non apaisée avant de les rejoindre. 

 

                      -Eh bien tu en as mis du temps pour te repoudrer!  me dit Virginie en un éclat de rire,

 

                      - Oui je sais, répiquai-je d'un ton vicieux, mais j'ai fais une rencontre inattendue aux toilettes qui m'a retardé!

 

        Je sourit alors devant leurs deux visages qui s'empourpraient.Elle par timidité, et mon cher cousin par................

Par floboy
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Samedi 14 janvier 6 14 /01 /Jan 09:08

   Par un superbe week end de juin, la famille entière était réunie pour célébrer le mariage d'une cousine.Bien que je ne sois pas trop fan de ce genre de cérémonie, j'étais tout de meme heureux de revoir nombre de membres de ma famille que je n'avais pas revu depuis des lustres.

 

 Dès mon arrivée sur le parvis de la mairie, lieu de rendez-vous pour tous, je tombai nez-à-nez sur mon cousin.Ce cher cousin Thomas retrouvé il y a quelques mois au fin fond de cette cave, et qui me souriait timidement mais sincèrement heureux de me retrouver.Je vins lui claquer la bise, comme à la plupart des invités, mais lui posa sa main fermement sur ma hanchepour m'embrasser.Son baiser me sembla alors très sensuel et prononcé, d'autant qu'il me le fit très près de mes lèvres.Un frisson me parcourut et un léger trouble m'envahit.

     Il se recula alors pour me présenter sa compagne, une jolie et très fine brunette bien plus jeune que nous, plutot effacée et timide, et d'aspect plutot garçonne.Assez mignone et attirante en fait!

 

                      - Je te présente Virginie, ma chérie depuis maintenant un an!

 

     Un rapide calcul me fit comprendre que lors de nos ébats passés dans la cave il était déjà en couple avec elle, et nos regards se croisèrent , plein de complicité.

 

                      -Enchanté Virginie, lui dis-je simplement en l'embrassant

 

                      -Thomas m'a tellement parlé de son cousin adoré , me répondit-elle, que j'avais hate de faire ta connaissance!

 

      Fixant Thomas au plus profond des yeux, je rétorquai:

 

                     -Oui il est vrai que nous avons tellement de d'aventures et de souvenirs passés en communs........!

 

 

 

           Déjà l'heure était venue pour nous de rentrer dans la petite mairie et nous commençames à tous nous ruer vers la porte pour accéder à la salle des mariages.Pressés de toute part comme des citrons, je sentis bientot une pression sur mes fesses.Comme elle persistait, je me rendis compte qu'une main baladeuse en profitait pour me caresser discretement.Jetant un oeil , je vis Thomas, toujours souriant, qui en profitait pour se coller à moi avant de me susurrer à l'oreille:

 

                   -J 'ai tant envie de toi.....!

 

      La réaction ne se fit pas attendre et ma queue commença à enfler tandis que ma main se faufilait discretement vers la bosse de mon cousin.Il bandait déjà dur comme un taureau!

              Bien évidemment la cérémonie me semnbla affreusement longue tellement du coup j'avais la tete ailleurs.Et dès que, enfin, le vin d'honneur fut lançé, je retrouvai mon couple préféré du moment pour trinquer avec eux.

           Je sentais Thomas au moins autant émoustillé que moi , et tentant d'avoir une conversation plaisante avec sa copine, je sentais, l'alcool aidant, mes pulsions et mes désirs s'activer.Je bandais à nouveau.

        Une coupe à la main,je ne résistai pas et vint enlacer mon cousin.Tel deux potes comblés de se retrouver après des mois de séparation, je lui déclarai combien j'étais heureux de le revoir.Virginie riait gaiement sans se rendre compte que j'étais en train de montrer à Thomas comme ma queue l'appelait.....

 

          Reposant ma coupe, je m'excusai en riant:

 

                  -Pardonnez moi mais je dois aller me repoudrer le nez!

 

           Sautant sur l'occasion, Thomas répliqua alors:

 

                 - Oui moi aussi j'ai la vessie qui va exploser.Je t'accompagne!

 

           Ainsi, pendant que Virginie trouvait d'autres convives avec qui discuter, nous nous dirigions fébrilement vers les toilettes.

 

 

 

 

 

 

Par floboy
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Vendredi 16 décembre 5 16 /12 /Déc 17:54

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Par floboy
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Vendredi 25 novembre 5 25 /11 /Nov 13:15

              Un autre de mes maitres virtuels me fit prendre un lacet pour me nouer les couilles, tout en les séparant l'une de l'autre.

         Durant cet exercice, je constatai que les pinces posées sur ma langue me faisaient énormément saliver et que je ne pouvais pas tout évacuer par ma gorge.Un filet commença à tomber sur mon torse et mon ventre, jusqu'à ma queue.

       Cette substance et surtout cette situation m'excitèrent encore plus et je me laissai aller à baver allègrement et sans vergogne sur mon corps offert aux regards des mateurs.

 

              Mes testicules maintenant bondées, je dus y fixer une lourde chaussure à l'extrémité du lacet et me relever.Ce lourd poids étira vers le bas mes couilles et d'instinct j'avançai le bassin pour faire baloter ma pompe.

     Je m'exhibai ainsi à tous, queue martyrisée , torse et ventre torturés,couilles étirées au maximum, tout en me bavant et mouillant partout sur mon corps.

 

              Après d'interminables minutes,je reçus l'autorisation de soulager enfin ma queue et retirai non sans peine les épingles.

            Je dus alors me tourner, toujours selon la volonté des maitres , pour montrer sous tous les angles mes fesses et mon trou.En bon chien soumis, je me mis à quatre pattes , bien cambré, avant de me doigter.Humidifiant quelque peu ma rosette,je dus enfoncer mon gode le plus gros et le plus long en un seul coup et jusqu'à fond.

 

 

            Ralant de plaisir, je constatai avec plaisir que mes spectateurs étaient encore et toujours plus nombreux!

 

       Faisant coulisser sans pudeur mon gode, je me branlai le cul sans aucune honte.

        Un maitre me fit stopper ce petit jeu pour me faire mettre à genoux face à la cam, et toujours engodé.

 

           Une à une, je reçus l'ordre de retirer toutes les pinces en tirant juste sur l'une des deux branches, tirant au maximum ma peau meurtrie.Gardant celles de ma langue pour continuer à baver encore et encore, mes maitres purent constater l'état de mon corps et les nombreuses marques laissées par les morsures des épingles.

           Dénouant la chaussure toujours attachée à mes couilles, je liai l'extrémité du lacet à un autre afin de pouvoir le relier à mon collier, par l'arrière.Je tendis le tout au maximum, m'obligeant à mettre ma tete légèrement en arrière, ainsi que mes couilles étirées sous moi.

        Ainsi arnaché, je dus faire ressortir légèrement le gode .Le posant à terre, je m'empalai dessus plusieurs fois sans les mains.Je bandai maintenant comme un taureau, trempé de partout.

 

        Ma langue endolorie fut bientot libérée et je soufflai un instant.Ils me firent alors prendre la pose durant de longues minutes, assis sur mon gode, cuisses écartées et tete toujours renversée.

           Gardant la position, j'allumai alors une bougie,selon le désir d'un nouveau maitre, et commençai à faire couler la cire chaude sur mes tétons pointés.En état second d'excitation intense, je me concentrai pour viser correctement afin de tracer une croix à la cire, allant d'un téton à l'autre d'une part, et d'autre part de mon cou jjusqu'à la base de ma queue.

 

    Je gémissais et criais ma douleur et mon excitation mélée durant cette épreuve , en ayant toujours à l'oeil le compteur du salon des webcams, preuve de mon succés!

 

      Mon ultime gage fut de recouvrir entièrement mon gland turgescent de cire tout en continuant mes mouvemenrs de vas-et-vients sur mon gode fichu au plus profond de mes entrailles.

      Je hurlai alors littéralement mon bonheur de cette sentation et tapissai ma bite entière de bougie.Un long filet de mouille s'échappait maintenant de mon méat.

        Sous les encouragements généraux, je tins la bougie d'une main, saisis ma queue de l'autre et me branlai vigoureusement et sans ménagements tout en versant cette délicieuse substance chaude au dessus de mon vit.

           La croute de plus en plus épaisse de cire sur ma queue entravait quelque peu ma branle et me faisait mal mais je forçai sur le prépuce pour coulisser, augmentant ainsi encore mon plaisir

 

            Branlant ainsi en meme temps ma queue et mon cul, je criai de joie avant de jouir en de longs jets crémeux et abondants.

        Reposant la bougie, je restai alors de longues minutes sans bouger, savourant cet instant , avant de reprendre mes esprits. 

 

      Jetant un dernier regard au compteur de mes visiteurs, je remerciai l'ensemble de mon " public" et de mes maitres, qui me félicitèrent également pour mon obéissance et mon endurance, avant de quitter le site et de filer à la douche.

 

 

 

Par floboy
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Jeudi 24 novembre 4 24 /11 /Nov 08:19

               Un jour où j'étais particulièrement désoeuvré,je décidai de faire un tour sur le net et me retrouvai vite sur mon site de tchat préféré, spécialisé dans le sm et les webcams gratuites.

 

              M' affichant sur la "room générale", je branchai ma cam et bien vite nombre de visiteurs commençait à mater ou à me parler.Je sélectionnai en privé une demi douzaine de "maitres" particulièrement motivés pour me diriger et me loper via ma webcam.Ainsi, toujours visible du salon général et par de plus en plus de mateurs, je pouvais recevoir mes ordres de cette autre fenètre de tchat.

 

           J'étais déjà torse nu et jean taille (très) basse pour exciter mon public, et, après avoir récupérer tout mon "matériel" soigneusement caché chez moi, m'installai à terre, sur le carrelage du salon.

            Sur ordre d'un premier maitre, je mis mon collier de chien à pointes, pour me batardiser, disait-il, puis entrepris de faire, toujours à sa demande, quelques séries de pompes afin de réveiller mes abdos déjà bien dessinés.

        Très vite mon jean et mon boxer furent otés pour exposer à tous mes attributs entièrement rasés, cela va de soi, avant de reprendre mes exercices d'assouplissements et de travaux musculaires.La sueur commençait à perler le long de ma peau fine sur tout mon corps maintenant échauffé, et ma queue commençait à enfler au rythme du défilement du compteur de mes visiteurs.

 

            Un autre maitre m'ordonna de poser immédiatement deux pinces à linge sur chacun de mes tétons.Ce que je fis sans tarder.

         D'autres épingles furent bientot aposées sur mon torse et mon ventre.Leurs morsures électrisait mon corps et je grimaçais de plus en plus à chaque pince nouvelle.Ainsi une vingtaine d'épingles garnissait désormais mon devant et tirait sur ma peau à chacun de mes mouvements.

 

          Le nombre de visiteurs ne faiblissait pas!

 

      Comme ma queue était devenue toute dure, un maitre me fit poser encore quelques pinces tout au long de ma hampe, du gland jusqu'aux testicules,qu'il m'enjoignit de recouvrir également de pinces.

        Ainsi un bouquet d'une bonne trentaine d'épingles pendait maintenant sur mon service trois pièces quelque peu allourdi. 

      Malgré la douleur, ma bandaison ne faiblissait pas, bien au contraire, et déjà quelques gouttes de mouille apparaissaient au bout de mon gland tellement j'étais excité.

 

          Le premier de mes maitres me fit reprendre alors mes exercices de pompes.Une vingtaine de traction.

       Une véritable torture tellement les pinces me rentraient dans la peau.Je devais en outre descendre jusqu'au sol à chaque mouvement pour que les épingles touchent bien le carrelage et appuient de ce fait sur mes chaires déjà meurtries.

      A la fin de l'exercice, j'étais rouge à la fois de l'effort fourni mais aussi de la brulure que j'endurais maintenant depuis de longues minutes, de mon cou jusqu'aux couilles emprisonnées.

 

  Je constatai avec fierté que le compteur avait encore progressé !

 

J'éprouvai un léger soulagement quand l'un des maitres me dit de retirer rapidement toutes les pinces de mes testicules.Je m'éxecutai alors mais poussai un cri à chaque retrait:j'appris ainsi combien la douleur pouvait etre importante quand le sang pouvait de nouveau circuler.

          Après la dernière épingle, je reçus l'autorisation de malaxer mes couilles pour les soulager.Mais les autres pinces me rappelaient à leur bon souvenir,en particulier celles de ma queue qui empéchaient celle ci de grossir encore plus, tellement le mélange souffrance-plaisir était immense et m'envahissait.

 

            Comme je signalai à mes bourreaux que j'avais mal, l'un d'eux me cria fortement dessus en me faisant comprendre que je n'avais strictement rien à dire .En punition, je dus tirer la langue au maximum afin d'y fixer deux pinces de chaque coté.

        Je m'éxécutai !

Par floboy
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