Ses lèvres gobent maintenant mon gland turgescent et descendent lentement le long
de mon sexe dressé.Un vertige m'envahi au plus profond de mon ètre et je sens que je
ne pourrais pas tenir bien longtemps ainsi tellement je suis excité.D'autant qu'il s'active
maintenant à me lecher les couilles et à les tremper de sa merveilleuse salive.
                           -Je n'en peux plus, c'est trop bon,   reussis-je  à dire

    Mais pour seule réponse je le vois me fixer et me sourire .Un sourire des plus vicieux et
des plus pervers qu'il m'ai été donner de voir avant cela, avant de reprendre sa tache.
 Cete fois c'en est trop et juste au moment ou il redresse la tete, je ne puis plus me
contenir et ma queue se tend au maximum avant de laisser fuser plusieurs jets de sperme.
La plupart attérissent sur mon torse glabre , mais aussi sur son beau visage d'ange .
  Sa main me branle frénétiquement maintenant pour me vider entièrement de ma semence
et il ne se prive pas pour venir lecher a nouveau mon torse et récupérer ainsi mon jus odorant.
Aussitot après il vient m'embrasser fougueusement .
     Ce baiser , cette odeur de sperme dans sa bouche me chavirent et je m'empresse à mon
tour de venir recupérer avec ma langue le reste de mon propre sperme posé sur ses joues.
    Je le sens stupéfait de cette réaction et m'empresse de le repousser gentiment afin de lui
prodiguer les memes caresses qu'il m'a offert.

      Je goute pour la première fois à un sexe d'homme  et ne me prive pas pour assouvir 
curiosité et gourmandise.Je vais, je viens, je lèche, je suce, passant des couilles au gland,
puis au ventre , et encore les couilles , tout en masturbant ce chibre si odorant et apétissant.
    Il gémis, il rale, il n'en peut plus à son tour .Alors je le suce de plus belle jusqu'à ce qu'il ne
puisse plus se retenir.Inondant ma langue et ma bouche de flots de jus salé et visqueux, chaud
et épaix.Son sperme en bouche, je me rapproche de son visage qui affiche extase et volupté,
et lui montre en desserant mes levres le contenu de mes bajoues, avant d'avaler son offrande
avec délectation.

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