Bercé par le roulis du train qui me ramenait chez moi,après ces vacances quelque peu
déroutante, je laissais mon esprit vagabonder et me remémorais le fil des événements de
ces dernières semaines.
Vogant entre le spleen de la séparation d'avec mon premier amant et la joie d'avoir
découvert tout un univers dont je ne me croyais pas capable,je fermai les yeux , savourant la
chaleur du soleil qui cognait à travers les vitres du wagon.
Je me délassai et revivai alors intérieurement mon amitié naissante avec Emmanuel,au
début des vacances,, puis cette tendre complicité qui nous unissait , surtout depuis ce fameux
jour de mise à nu et de plaisir à m'offrir corps et àme à lui.
Je souriais en repensant à sa façon de me dominer et à ce exquis ressentir que j'ai eu à
me soumettre à ses exigences.Ces exhibitions forcées et ces jeux virils, voire violents furent
pour moi une véritable découverte de ma personnalité réelle.
Le train continuait sa route et je repensais à toutes nos folles nuits passées depuis le
retour de mes grands-parents.Dès qu'ils étaient endormis, je rejoignais vite Manu dans son
grand lit et, rite devenu immuable, je commençais par une fellation de plus en plus savante
et experte au fil des leçons particulières de mon professeur
J'adorais plus que tout , lorsqu'il bandait au maximum et que j'avais préalablement déroulé
un préservatif sur son membre épaix, venir m'empaler tres lentement dessus.Face à lui, les
yeux rivés sur son visage pour admirer son extase, je coulissais doucement sur sa tige
jusqu'à pénétrer au plus profond de moi-meme.
Alors j'alternais le rythme pour le rendre fou de désir et me sentir ainsi possédé du bonheur
de sa queue raide. Souvent il ne bougeait presque pas , tellement je prenais les choses en
main, si je puis dire, et il n'avait qu'à se concentrer pour faire durer le plaisir et se retenir le plus
longtemps possible.Bien sur au début il devait lubrifier mon petit trou longuement et profondément
pour ne pas me déchirer, mais au fil des séances, mon corps s'est adapté et sa seule salive
suffisait à la préparation de mon plaisir.
J'aimais le regarder gémir pendant que je m'enculais moi-meme sur son vit.J'aimais aussi
qu'il me regarde prendre mon pied gràce à lui, et plus que tout, je me délectais à me caresser et
me branler la queue dure en meme temps, au dessus de son torse.
Ce spectacle pouvait durer de longues minutes mais il se terminait toujours de la meme
façon.Quand j'étais sur le point d'éjaculer, je redoublais d'ardeur dans mes vas-et- vients sur sa
tige et j'explosais en longs jets intenses sur son torse glabre et son visage.Alors il se laissait
aller en gémissant , trempé de sueur, et déversait à son tour son jus dans le latex, flanqué au
plus profond de mes entrailles.
Je m'arretais alors, le regardais en souriant, et venais me coller contre lui et mon sperme
encore chaud pour l'embrasser gouluement et sauvagement.
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