Je m'attendais à etre inonder de son jus mais tout à coup il se retira de ma bouche et m'ordonna de me lever.J'obtempérai alors assez difficilement vu mes entraves mais y parvint tout de même.
Là il me plaque contre un arbre et ressortit de son sac deux longues cordes qu'il fixa, l'une aux pieds et l'autre aux poignets,prenant soin de les passer auparavent autour du tronc .
Je me retrouvai donc plaqué contre l'écorce rapeuse , elaçant l'arbre sans possibilité de fuite.Se reculant:
- Je pourrais aisément te laisser là des heures durant, petite pute,à la merci des rodeurs!
-Oh non maitre! Pitié, implorai-je
-Tais toi esclave, reprit il , quand comprendras-tu que tu ne décides plus de rien? Ou plutot si! je vais te
donner un choix: soit tu restes ici durant des heures, soit tu acceptes le fouet séverement! A toi
de voir!!!.........
- Vous etes le maitre, répondis-je, ce n'est pas à moi de décider.
- Bonne réponse esclave, tu vois ça commence à rentrer dans ta petite tete de batard!!.......
Il sortit alors de son sac un véritable martinat à lanières de cuir et commença à m'en administer sur les fesses, les cuisses.Me mordant les lèvres pour ne pas hurler, je ne pouvais m'empécher de gémir bruyamment sous ses coups.
Lassé, il finit par sortir un baillon pour me l'apposer sur la bouche.Effrayé, je compris que la séance allait etre plus musclée encore.Et j'en eus confirmation aussitôt puisque le fouet s'abbatit partout sur mon corps, des pieds aux épaules, et jusque sur mes bras liès.
Mes couilles toujours étirées en arrière étaient également exposées à ses coups et je criais intérieurement de douleur.Mon corps entier était en feu, trempé de sueur et de mes larmes qui perlaient de mes yeux maintenant.Je priais pour que cette torture se finisse au plus vite .
Et pourtant, ma queue restait extraordinairement bandée et baveuse de mouille,malgré l'irritation de plus en plus douloureuse à chacun de mes soubressauts , contre l'écorce.J'avais l'impression que j'allais défaillir d'un instant à l'autre lorsque les coups cessèrent subitement, me laissant croire à un répit de quelques instants.
Mais aussitôt je sentis une masse contre mes fesses.Déjà Farid pointait sa queue large contre ma rondelle et forçait sans plus attendre le passage.Seule ma transpiration lui servit de lubrifiant et d'un coup sec il entra en moi, me violant sans pitié et sans égards pour moi.
Une effroyable brulure me déchira les entrailles malgré mon expérience, et je me retrouvai plaqué encore plus contre l'arbre , mon maitre flanqué en moi jusqu'aux couilles et écrasant les miennes par la même occasion.
Il débuta alors un va-et-vient et me bourra ainsi longuement. La douleur de la déchirure se dissipa quelque peu et je pus enfin " savourer" sa possession bestiale.
Il finit par se raidir et , en un grand râle rauque, se laissa aller à éjaculer sans retenues au fond de moi.Tout haletant, il se retira aussitôt pour reprendres ses esprits et sortir à nouveau son portable:
-Bien esclave, me dit-il, tu seras libéré lorsque tu auras joui !
-Mais maitre, je ne peux me toucher ainsi!!
-Tais toi batard, tu te démerdes ou sinon tu passes la nuit ici.......
Je dus alors me résoudre à frotter ma queue en de petits mouvements de bassin contre l'écorce et malgré l'irritation de plus en plus importante de mon sexe dressé.
Un effort d'imagination m'aida je l'avoue volontiers à m'exciter davantage et le fait d'etre exhiber ainsi en pleine nature, le cul bien ouvert encore et offert à un maitre qui me filmait finit par me mettre dans un état second, si bien que je finis par maculer l'arbre et mon bas ventre en une douloureuse mais abondante éjaculation.
Epuisé, je finis par me laisser reposer contre l'arbre, attendant les nouvelles volontés de mon maitre.......
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