Le suplice me parrait interminable et j'essaie évidemment en vain de me débattre
sous mon bourreau déchainé.Mes fesses sont maintenant en feu sous les coups
et des larmes commencent à perler malgré moi au coin de mes yeux.
Puis tout à coup il cesse et se relève pour me contempler.J'en profite pour me
redresser d'un bond, fou de rage, et me précipite vers lui pour tenter de le frapper.
Il me stoppe bien vite de ses bras vigoureux et me hurle:
- Du calme bébé, si tu n'as pas aimé ça comment ce fait-il que tu
soit dans un tel état??
Je baisse la tète pour constater de visu ses dires et ce que mon cerveau refusait
d'admettre.Je bande.Mon érection est au maximum malgré la boue qui recouvre mon vit.
Alors je laisse mon corps parler et me jette dans ses bras pour venir l'embrasser et me
coller, me frotter a lui, le souillant de terre trempée à son tour.
Sa réaction est immédiate et il se met à bander aussitot.Tout en me roulant une méga-
pelle toute terreuse, il m'appuie sur les épaules pournous remettre au sol.Nous roulons
littéralement dans la boue, enlacés comme jamais, nous caressant et nous enduisant
tout le corps de cette mixture naturelle.Trempés et sales, nos mains palpent, malaxent,
triturent et caressent les moindres parcelles de nos etres, de la tete aux pieds, avant de
nous recouvrir nos sexes droits de cette thalasso improvisée.
Comme il est bon de se sentir juste un animal en rut, guidé par sa seule envie de
jouir.
Les mains pleines de cette vase,nous finissons par nous branler mutuellement
ainsi, baignant dans la boue, et nous laissons aller en meme temps pour décharger à
longs jets l'un sur l'autre, en un ràle bestial de soulagement mutuel.
Je vais pour me mettre à l'abri de l'ondée qui prend vite de la vigueur quand la main
de Manu se pose sur mon épaule:
-Alors ma petite salope adorée, il est temps de me montrer ton endurance!
-Quoi?
-Allez fais moi quelques pompes pour commencer .
-Mais .....Il pleut!
-J'avais remarqué! figure toi...Mais ce n'est pas ces trois gouttes qui
vont nour arreter non?, dit-il d'un ton malicieux
La situation m'émoustille à nouveau et je décide une fois de plus d'obéir.Je m'installe
donc sur la pelouse afin d'effectuer l'exercice imposé mais il m'interromps très vite :
-Non...!!!! viens plutot par ici, en me désignant un coin de terre qui se transforme
au fil des minutes en une véritable mare de boue.
Sans réfléchir et avec le sourire aux lèvres, je viens m'installer pieds et mains dans ce
bourbier et commence mes pompes, prenant bien garde de venir froler le sol pour ne pas
trop me salir.
Cela ne parrait pas satisfaire mon 'coach' qui vient se placer près de moi et sans hésiter
il pose son pied sur mes fesses pour me maintenir plaqué au sol, completement envasé.
Je crie de rage, n'appréçiant pas du tout ce traitement, mais il rit et me maintient
fermement dans cette position.Il vient meme s'assoir carrément à califourchon sur moi
avant de me hurler:
-Ah tu n'aimes pas ça? Et ça tu aimes?
Et de claquer violemment mes petites fesses charnues.La douleur est violente mais il ne
s'arrète pas là et entame une veritable correction corporelle pendant de longues minutes. J'ai
mal.Je souffre, tant par le douleur physique que par l'humiliation de me retrouver au milieu de
la cour, allongé nu dans la boue, sous cet orage et ces trombes d'eaux qui nous inondent
maintenant.De surcroit, recevant une vraie fessée tel un gamin pris en faute.
Qu'il est difficile d'avoir de l'appétit lorsque le corps est dans un état d'excitation extrème.
Qu'il est difficile de dejeuner lorsque toutes nos hormones sont en ébullition!
-Après le repas je m'occuperais à nouveau de ton petit cul, ma
belle salope, avait-il déclarer.
Je suis donc là, toujours aussi nu devant lui et lui préparant son repas de dur travailleur.
Lui aussi d'ailleurs s'est mis totalement à l'aise, dans la plus simple appareil, attendant tel
un véritable pacha d'ètre servi. Le repas est frugal: poulet froid, salade de légumes et fruits.
Mais il me parrait interminable tellement mon érection latente me fait maintenant souffrir.
Lui en joue à merveille et s'amuse à m'exciter de son regard de braise, des ses attouchements
furtifs, mais aussi en me claquant au passage mes petites fesses blanches.
Il fait chaud.il fait lourd. L'air est pesant, tant par l'ambiance entre nous que par l'orage
qui se prépare.
C'est au moment mème ou je débarasse les restes de notre repas champètre que les
premières gouttes caressent ma peau nue.
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