Le blog de floboy.erog.fr
Repensant à toutes mes aventures estivales, je sentis ma queue se dresser
dans mon boxer et ne pus m'empecher d'y mettre ma main à l'intérieur.
Une formidable envie naquit alors en moi.Je me redressai pour constater que
nous étions très peu nombreux dans le wagon:Juste un couple à quelques sièges
de moi, et plusieurs autres personnes plus à l'avant encore.J'en fus si excité que
j'ouvris mon jean pour sortir ma queue et commencer à la caresser.Au bout de
quelques minutes je degraffai un à un les boutons de ma chemisette pour découvrir
au maximum mon torse.
A l'instant où nous traversions en ralentissant mais sans arrèt prevu une petite
gare de campagne, je vis une petite poignée de personnes sur les quais attendant
un prochain train certainement et ne pus m'empecher de continuer mon effeuillage.
J'ouvris au maximum ma chemise, jusqu'à montrer pratiquement mes épaules
nues , et descendis jean et boxer jusqu'aux chevilles.
De m'exhiber ainsi nu face à un pseudo public inconnu m'excita d'une telle force
que je me relevai légèrement pour ètre sùr que certains me verraient.
Le train reprit de la vitesse et je me recalai dans mon siège sans pour autant me
revètir.Tout en me caressant et me branlant sans vergogne, je jetai de temps en temps
un oeil vers les autres passagers et vers les portes, guettant l'arrivée inoportune d'un
controleur. Je craignais cette venue autant que je la souhaitais presque,tellement mon
désir d'exhibition était intense.
Le soleil chauffait ma peau dejà moite de plaisir et, de ma main libre, je me caressai
le ventre pour descendre jusqu'à mes couilles pleines.Je continuai et glissai , tout en
écartant les cuisses au maximum, vers mes fesses et mon petit trou.Il était déjà bien
trempé de sueur et d'excitation ,à tel point que mon majeur vint se glisser à l'intérieur
sans problèmes.Je me retins de gémir trop fort tellement je me sentais bien là,à me
masturber la queue et le cul à la quasi- vue de tous, dans ce train, face au soleil.
Très vite j'adoptai un rythme soutenu entre mes caresses et les secousses du train
et sentis l'extase monter en moi.J'accelerai le mouvement , repensant à Manu , et me
disant qu'il serait fier de moi s'il me voyait ainsi.
Je finis par me mordre la lèvre pour ne pas crier au moment où j'éjaculai sans
retenue sur mon ventreet mon torse.Quelques jets attérirent meme sur mes lèvres ,que
je récupérai vivement de ma langue désormais habile.
Je restai ainsi quelques secondes pour me remettre de cette émotion et sortis
un paquet de kleenex pour oter tout ce que je n'avais pas déjà déguster de mes doigts.
C'est au moment où, après m'etre revétu, je vis la porte du wagon s'ouvrir:
- Billet s'il vous plait!!!!!!!!!!!!!