Le blog de floboy.erog.fr

                   Il ne fut pas long à exercer son autorité car dès le lendemain midi, alors que j'étais en repas familial,un sms m'avertit de le retrouver au parking.J'expliquai alors à mes parents que l'un de mes amis avait un problème et que je devais au plus vite me rendre à ses cotés.Et c'est sous un soleil radieux que j'arrivai au point de rendez-vous.J'étais seul.

                 Je descendis de voiture et me mis torse nu, profitant du soleil en patientant.

                    

                       Farid arriva alors, me toisa du regard et déclara

                                -A poil, et vite!

 

                      Je m'exécutai.Déjà mon sexe frétillait à l'idée des uplices qu'il allait me faire connaitre.

                    Alors mon maitre sortit un sac à dos d'où il extirpa un large collier de chien en cuir qu'il me fixa au cou.

                                  -Voilà pour toi chienne, tu devras maintenant le garder en toutes circonstances.

                    Et il le serra assez fortement, m'étranglant presque.Mais j'allais m'y habituer vite, d'après lui.Alors, sortant une laisse, il l'attacha à l'anneau du collier et , après m'avoir fait mettre à quatre pattes,me fit marcher ainsi durant de longues minutes.Son sac sur le dos, le maitre promenait son chien en laisse à travers bois et sur les chemins de terre de la foret.

                   Stoppant soudain, il me fit mettre debout, degraffant la laisse.Mains sur la nuque et jambes écartées, je patientais sagement.

                   Je le vis alors ouvrir son sac pour en sortir plusieurs cordes et cordelettes.Sans hésiter, il en prit une assez fine qu'il noua fortement et sans pitié autour de mes couilles pleines.Le contact de ses doigts sur mes attributs me provoqua une belle erection mais il ne s'en souçia guère.

                  Reculant quelque peu pour admirer la ficelle pendante jusqu'au sol, il me fit reprendre la position de chien.Alors il tira sur l'extrémité du lien pour tendre mes couilles en arrière, cala la cordelette entre mes fesses ouvertes , puis vint la fixer sur l'anneau de mon collier.Il tendit alors le tout de telle sorte que j'étais obligé de mettre la tête bien en arrière pour pouvoir respirer.

                             -Avance maintenant!.....

 

                   Chacun de mes pas me semblait une souffrance tant cela tendait la corde.Si je voulais soulager mes couilles c'était au détriment de mon cou, et vice-versa.Sans compter la cordelette qui frottait de plus en plus contre l'intérieur irrité de mes fesses.La seule solution pour moi était de me cambrer au maximum mais cela ralentissait considérablement mon allure.Farid en prit d'ailleurs ombrage et se confectionna une petite badine avec un bout de bois tres souple.

                             Très vite elle s'abbatit sur mes fesses offertes.Gentiement au début, puis de plus en plus fort.Bientôt le sifflement de ce fouet de fortune retentit sans discontinuer, rougissant et zébrant mes fesses meurtries.

                          La séance devenait de plus en plus dure à supporter et mes petits cris plaintifs n'y changaient rien.Aussi, en sueur et sanglotant, je pris sur moi pour obéir à tous ses caprices et avancer à la vitesse voulue.

                      Las de cette promenade, il décida qu'il était à nouveau temps pour moi de nettoyer ses basquettes et je dus me contorsionner afin de baisser la tête jusqu'à ses pieds, tirant encore davantage et plus que je ne l'aurais cru possible mes jeunes couilles pourtant déjà si malmenées.

                    La badine elle continuait son oeuvre et je sentais maintenant mes fesses en feu , me demandant même si elles ne saignaient pas quelque peu.

                     

                         Enfin mon maitre consenti à descendre son jogging , découvrant alors une queue déjà toute raide et dure.Me la passant sous les narines, je pus constater combien elle était odorante!

                           - Lèche , doucement, nettoie bien chienne!   M'ordonna t il d'un ton excité

 

                Alors, tirant ma langue de jeune chienne, je commençai un très long travail de découverte  et de lèchage ,débutant par legland, la hampe, toute sa tige dure, jusqu'à ses couilles poilues.

                Le bougre avait du zapper la case douche du matin car ce jouet délicieux me remplissait les narines.Mais je m'appliquai à ma tâche, sous râles encourageants de mon maitre et les caresses de la badine sur mon dos ou mes fesses.Enfin je pris sa bite gouluement en bouche et il commença à me pistonner le gosier sans ménagements.

                Son énorme sexe me remplissait la bouche jusque dans la gorge et j'avais du mal à respirer tellement il allait et venait sauvagement.................

 

 

Jeu 21 avr 2011 Aucun commentaire