Le blog de floboy.erog.fr

           Planté toujours en lui, je lui saisis la queue pour le masturber et le libérer de cette envie et de cete tension qui le tiraillaient.

            Sa queue toute droite était pleine de mouille et il ne falut pas longtemps pour qu'il jouisse à son tour.

            Repus, il s'effondra sur le canapé et je virai ma capote usagée avant de venir l'enlacer.Sans hésiter il me prit la bouche pour m'embrasser aussi fougueusement que longuement avant de me susurrer à l'oreille:

               

                                   -Je t'aime , tu sais....

 

            Dès lors nous vécummes pendant quelques mois une histoire aussi passionée que torride.Mon mec semblait insatiable de sexe.Et meme si nous avions décidé de rester discrets et de n'en dire mot à personne, toutes les occasions étaient bonnes pour nous retrouver, nous embrasser ou nous caresser furtivement, au nez et à la barbe de tous.

    

                   Il aimait pas dessus tout se faire prendre quand j'étais allongé et qu'il venait s'empaler sur mon membre dressé.Ainsi je pouvais voir son regard lubrique quand il prenait son pied tout en se branlant effrontement en meme temps.Il ne se génait pas pour m'inonder le torse ou meme le visage de son sperme chaud ou moment où je jouissais en lui.Et nos parties de pipes réciproques , où non d'ailleurs, resteront gravées à jamais dans ma mémoire.

                     Le bougre ayant pris gout à la fellation, il ne s'en privait pas pour m'en faire profiter allégrement.Ainsi , souvent le matin je passais chez lui avec ma voiture pour l'emmener au lycee et, pendant que je conduisais, il se jetait immuablement sur mon jean afin de sortir ma queue pour s'en délecter.

                Quel plaisir pour moi que de me faire sucer en conduisant en plein centre ville sans que personne n'en sache rien.Tout comme cette fois particulère où, garés devant le lycee,nous avions tant de buée dans la voiture que l'on ne pouvait nous voir de l'exterieur.Excités comme jamais, je me retrouvai vite  presque nu à me faire pomper gouluement alors que je distinguai les silhouettes des passants à moins de tois mètres de nous. 

 

       

                Mon amant , unique à l'époque, était aussi bon au lit que beau et amoureux.Et nos chaudes scènes de sexe alternaient avec de longs moments romantiques que nous espérions éternels, en doux réveurs adolescents que nous étions!........................

Sam 26 fév 2011 Aucun commentaire