Le blog de floboy.erog.fr
L'un des multiples avantages d'internet est incontestablement de pouvoir faire connaissance avec des gens du bout du
monde.Mais aussi de rencontrer plus facilement des personnes toutes proches.
Ainsi fis-je la connaissance d'un homme se presentant comme un adepte du libertinage, sous toutes ses formes.
Apres plusieurs conversations, il finit par me faire une proposition des plus etranges.Il m'avoua organiser regulierement dans sa villa cotiere des soirées speciales entre adultes, plus souvent appelées parties fines.Mon role consisterait lors de l'une d'elles à servir ses hotes en coupes de champagne ou autres amuse-bouches divers.Me precisant quelques details, il m'informa que , si j'acceptais, je ne serais pas seul pour tenir ce role.
La proximité du lieu, la curiosite et aussi je dois l'avouer le montant de la remuneration pour cet "extra" me firent accepter rapidement.
Le jour dit, j'arrivai comme convenu en debut d'apres midi .Une somptueuse villa se dressait à l'adresse indiquee .Je me demandai si j'etais à la bonne adresse lorsq'une superbe jeune fille qui me dit avoir ete embauchee aussi pour cette soiree arriva.
Ophelie etait brune , de mon age, tres elancee et fine.Sa petite robe d'ete laissait entrevoir de magnifiques cuisses tres fines et son decoletté laissait apercevoir une jolie petite poitrine , qu'une absence de soutien gorge evidente rendait d'autant plus desirable.
Le proprietaire des lieux, un homme d'une cinquantaine d'annee, plutot raffiné et elegant, nous fit entrer dans le salon.Là nous attendait Hugo, troisieme employé temporaire.Ce jeune garçon arborait une adorable chevelure rousse, ses taches de rousseur marquant son visage faisant ressortir davantage encore son coté "poil de carotte".Plutot petit, voire gringalet, je me posai la question de son age , bien qu'il m'affirmat etre majeur.
Nous etions relativement tot dans l'apres midi mais Monsieur nous avait demandé de venir à cette heure afin de faire connaissance entre nous, et aussi et surtout de pouvoir prendre possession des lieux en nous fameliarisant à l'endroit.Nous debutames donc la visite de cette immense batisse, du salon à la cuisine, en passant par les chambres, les salles de bains ou meme les wc.Totalement eblouis par le cachet de sa demeure, nous contemplions et commentions entre nous tout ce luxe affiché.Il termina la visite par l'exterieur, à savoir une immense cour carree et pavee où tronait une sompteuse piscine.Nous precisant que la soiree se deroulerait là.
Enfin, comme convenu auparavent, nous nous vimmes offrir notre tenue officielle pour la reception.Tenues pour le moins sommaires puisqu'elles se composaient uniquement d'un petit tablier minuscule qui cacherait un mini string ficelle.
Le teint du petit Hugo vira au rose à l'idee de se montrer ainsi.Moi je nous imaginai dejà avec delectation dans cet apparat alors qu'Ophelie semblait elle indifferente.
Une fois les dernieres recommandations effectuees quant à notre role du soir, notre hote nous proposa pour nous delasser quelque peu et aussi pour que nous fassions connaissance de piquer une tete dans son bassin.
- Helas nous n'avons pas de maillots, declara Hugo , confus
-Et alors? tu as des choses à cacher ? repondis notre employeur du jour
Comprenant l'allusion je decidai de montrer l'exemple et en un eclair chemise et pantalon s'envolerent.Sans hesiter je virai aussi mon boxer avant de plonger nu comme un vers dans l'eau claire.
Tournant le tete, je vis Ophelie faire le plus naturellement du monde tomber ses bretelles de sa robe pour laisser tomber celle ci à ses pieds.Le spectacle me ravit car ce que je soupconnais s'est averé exact.Elle etait nue dessous.Elle s'avança alors pour me rejoindre,me laissant le temps d'admirer sa belle toison epilee et taillée à souhaits.Hugo parut hesiter encore un instant mais apres nos vifs encouragements il commença son effeuillage à son tour.Nous le contemplions tous les deux sans complexe et je pus admirer son joli corps imberbe de bambin qu'un minuscule pubis roux valorisait encore plus.Pas un poil ne depassant, des couilles bien accrochées et aussi glabres qu'etaient les miennes.
Nous nagions et savourions maintenant cet instant de detente, sous les yeux ravis de notre hote.