Le blog de floboy.erog.fr
J'écarquillai les yeux, me demandant ce qu'ils envisageaient de plus quand je vis maitre alexis sortir d'une malle
un petit martinet orné d'une dizaine de lanières de cuir.Je frissonnai d'effroi pendant que maitre gilles , face à moi, se posait sur le sexe un préservatif enduit de gel.
Bientot le martinet se promena sur ma peau et je sentis les lanières venur exciter toutes mes terminaisons nerveuses.Quelques petits coups bien placés et très légers commençèrent à claquer sur mes fesses, mes cuisses et mes abdos, me coupant le souffle à chaque fois.J'étais trempé de sueur et mon sexe emprisonner me faisait de plus en plus mal, mais je me refusais à mettre un terme à ce supplice.
Alors que maitre jean se masturbait maintenant devant moi,maitre gilles me contourna et vint se placer pour pointer son sexe droit sur ma petite rosette.Sans hésiter il s'introduit en moi au plus profond , m'arrachant un cri de douleur, avant de venir se coller à mes fesses trempées et de saisir de ses mains viriles mes poignets attachés.
Maitre alexis commença alors à le flageller en meme temps que moi, de plus en plus fort.
En ralant de bonheur, il entama un va-et-vient dans mon cul serré, recevant des coups de fouet autant que moi, si ce n'est plus,me faisant hurler d'extase douloureuse.
Ce petit jeu pervers dura au moins un quart d'heure, alternant les cadences et les coups,jusqu'au moment ou il se plaqua violemment contre mon corps meurtri pour se répandre en un dernier ràle dans le preservatif, fichu au plus profond de mes entrailles.
Lorsqu'il se retira et que maitre alexis reposa son jouet, je respirai un instant et soufflai bruyamment.Je commençais à etre épuisé, vidé intérieurement autant que physiquement par cette séance de choc.Mais très vite mon
enculeur vint poser lui-meme un préservatif sur le membre de son compagnon pour qu'il puisse gouter à son tour à sa part de jouissance.
Certes, le passage était déjà fait et maitre gilles avait déjà travaillé longuement mes muscles fessiers, mais maitre alexis était beaucoup plus membré que l'autre et lorsqu'il me perfora sans preliminaires,je beuglais litteralement de nouveau.
Sans se soucier de mes cris, il commença à me pilonner sans ménagements, me claquant les fesses au passage,me triturant la queue et les couilles sauvagement.Tirant vicieusement sur la chainette de mes pinces à seins, il aimait me faire mal et ne s'en privait nullement!
D'ailleurs,n'avais-je pas été payé pour ça?
Mon bourreau se déchainait sur moi et je crus défaillir plus d'une fois.Je n'avais meme plus la force de pleurer, de crier ou de dire quoi que ce soit.J'étais juste un jouet à plaisir, et malgré moi, je dus admettre un fait avéré:j'aimais leur
apartenir! j'aimais cette souffrance somme toute tolérable! et j'aimais etre considérer comme cette petite pute, ce batard qu'ils me disaient etre!
Il finit tout de meme par se contracté et je le sentis se vider à son tour dans mon cul, me griffant sévèrement les cotes au passage.Il resta sans bouger ainsi de longs instants afin de se calmer et d'attendre que sa queue désenfle , puis en profita pour me titiller la queue encore.Je la croyais prete à exploser et n'avais qu'ine hate, une envie, un besoin meme:etre libéré de ce bondage pour pouvoir me masturber et jouir à mon tour.
Au contraire, ils passèrent de longues minutes à reprendre leurs esprits en sirotant un verre de whisky devant moi,en examinant mon corps offert mais désormais en piteux état.